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Manger du poisson gras est sain

  1. Le titre de cet article ressemble à un slogan publicitaire, mais ce n'est pas le cas. Manger des poissons gras, comme le hareng, le maquereau et le saumon, s'est avéré efficace pour prévenir les maladies cardiovasculaires, selon la recherche scientifique. L'effet préventif peut être attribué aux acides gras insaturés essentiels de l'huile de poisson. De plus, il y a des indications qu'un apport élevé en acides gras provenant de l'huile de poisson réduit considérablement le risque de démence, de diabète, d'hémorragie cérébrale et de CARA et réduit les plaintes rhumatismales.

Manger du poisson gras

  1. Manger de la graisse n'est plus un tabou. Une à deux fois par semaine, le poisson (gras) au menu est même chaudement recommandé par les nutritionnistes. Il a été scientifiquement établi que la consommation de poisson peut avoir des effets positifs sur notre santé car elle réduit considérablement le risque de maladie cardiaque, comme une crise cardiaque. Il y a également des indications qu'il existe un lien entre la consommation d'huile de poisson et un risque réduit de maladies chroniques telles que la démence, le diabète, l'hémorragie cérébrale et le CARA. Les patients rhumatismaux qui mangent régulièrement du poisson ont moins de douleurs. L'huile de poisson jouerait également un rôle positif, entre autres, dans l'hypertension artérielle, les arythmies cardiaques, les maladies pulmonaires et l'artériosclérose.

Acides gras essentiels

  1. Ce sont les acides gras essentiels de l'huile de poisson qui sont responsables de l'effet bénéfique sur notre corps. Les acides gras essentiels sont des acides gras que notre corps ne peut pas fabriquer lui-même et doivent donc être pris avec de la nourriture. Les acides gras essentiels insaturés (acides gras essentiels ou AGE) sont l'acide alpha linolénique et l'acide linoléique. Ces «acides gras souches» sont convertis par des enzymes en LCP (acides gras polyinsaturés à longue chaîne) fonctionnels avec des chaînes carbonées plus longues et plusieurs doubles liaisons qui jouent un rôle critique dans la construction et le fonctionnement du système nerveux central.

Être humain à travers les poissons

  1. La disponibilité de l'EPT aurait joué un rôle dans l'évolution humaine. C'est une hypothèse de scientifiques qui fait appel à l'imagination. Les ancêtres des humains, qui vivaient autour de la vallée du Rift au Kenya, mangeaient beaucoup de poissons de la mer tropicale qui s'y trouvait il y a des millions d'années. En raison de la forte consommation de poisson et donc de la grande disponibilité des acides gras essentiels, la taille du cerveau et la fonction de l'homme primitif auraient augmenté. En général, chez les animaux, le poids relatif du cerveau diminue à mesure que le poids corporel augmente. Cependant, l'homo sapiens est une exception claire à cette règle. Relativement proportionnellement à son poids corporel total, les humains ont beaucoup plus de cerveaux que les autres mammifères.

Maladies cardiaques

  1. Depuis les années 80, des recherches danoises ont appris que les habitants du Groenland n'ont presque jamais de crise cardiaque. Diverses études internationales, y compris l'étude néerlandaise Zutphen, ont confirmé scientifiquement que le risque de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral est considérablement plus faible chez les personnes qui mangent du poisson une ou deux fois par semaine. Mais les études internationales conduisent à une grande variation dans les résultats de la recherche. La méthode de recherche utilisée en particulier en est la cause. La quantification de la consommation de poisson se fait souvent avec un «critère» différent. De plus, les pays où le poisson figure au menu du jour, comme Hawaï et le Japon, n'ont pas de groupe témoin.

Moins de démence due aux poissons

  1. D'autres effets de la consommation régulière d'acides gras d'huile de poisson, qui sont en partie également associés à un risque réduit de maladies cardiovasculaires, sont une pression artérielle plus basse, une amélioration du rythme cardiaque et un effet anti-inflammatoire. Le risque de diabète sucré est moindre en raison de la propriété des acides gras n-3 de favoriser la perméabilité des membranes cellulaires. Avec une consommation de plus de 20 grammes de poisson par jour, le risque d'accident vasculaire cérébral est réduit de moitié. Ceci est probablement lié à l'effet préventif des acides gras n-3 sur l'athérosclérose.

Moules populaires

  1. Tant aux Pays-Bas qu'en Belgique, la consommation de poisson a augmenté ces dernières années. Selon les chiffres du panel de consommateurs GfK du Centre flamand de promotion de l'agriculture et de la pêche (VLAM), au premier trimestre de 1997, par rapport à la même période en 1996, sept pour cent de familles belges en plus avaient du poisson au menu et dépensé le budget du ménage en poisson (principalement du poisson congelé et du poisson en conserve et, dans une moindre mesure, du poisson frais). En revanche, les dépenses en viande sont en baisse. Les moules et la morue sont particulièrement appréciées. Trois mille familles ont participé au panel.



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